Les comptes rendus

Cse-C n°30 du 20 octobre 2021

20/10/2021

Déclaration CGT : Augmentation tarif du gaz / Classif-Rému / Agressions physiques et verbales / ATT/Astreinte / Soutien Gardanne

À l’ordre du jour de ce Cse-C EXTRA :
Covid-19 : suivi de la gestion de la crise sanitaire à GRDF (pour info)
• Nouvel outil de gestion des alertes à GRDF
Politique Sociale : Rapport Situations Comparées F/H / Rapport Handicap 2020 / Bilan social 2020 / Rapport sur les rémunérations / Bilan logement

 

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1. Covid-19 : suivi de la gestion de la crise sanitaire à GRDF (pour info)

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Le dernier protocole sanitaire date du 10 septembre, le gouvernement ne l’ayant pas fait évoluer ; GRDF n’a apporté aucune proposition supplémentaire. La direction nous a présenté un ensemble de données qui ont tout simplement été piochées dans l’application « TousAntiCovid ».

La délégation CGT a trouvé surprenant que le médecin ne soit pas présent à l’ouverture du point.

Quelques cas avérés de Covid19.

Nous apprenons avec surprise que malgré que 2020 a été une année extraordinaire, il n’y a pas de retard dans les différentes activités, seul le plan de formation est en difficulté.

Rappelons que pour les personnes vulnérables, le médecin du travail peut aménager des journées de TAD supplémentaires.

Vos élus CGT restent à votre disposition, n’hésitez pas à nous remonter les anomalies rencontrées.

Pour la délégation CGT, la vaccination doit rester un choix. Nul ne doit l’imposer. La délégation CGT a interpelé la Direction et demande que GRDF assume pleinement son rôle d’employeur en respectant la réglementation en vigueur. Notamment son obligation de sécurité de résultats et en matière de non-discrimination à ce que le respect du secret médical soit préservé en toutes circonstances et pour tous les salariés.

2. Nouvel outil de gestion des alertes à GRDF (pour Avis)

Ce dossier est à lui seul la grande histoire d’un système de gestion d’alertes mis en place par GRDF. A l’époque de la première consultation du CCE, nous avions bien fait d’alerter la direction sur cet outil de signalement.

Pour faire court et juste resituer le contexte, il faut savoir que la nouvelle responsable éthique a voulu s’approprier le logiciel et y apporter quelques modifications. Or, à sa grande surprise, aucune évolution n’était possible et la société qui gère l’application avait déménagé dans un autre pays d’Europe. Un peu comme le message d’un opérateur qui vous explique que le numéro de téléphone n’est plus attribué. Pas sérieux pour un SAV…

Dès lors, vous comprendrez notre inquiétude et surtout l’ensemble des éléments de réponse que la direction a dû nous fournir pour que nous soyons en capacité d’émettre un avis pertinent sur ce dossier.

Il est important de pouvoir alerter sur des faits entrant dans le cadre prévu (propos ou actes de discrimination, harcèlement, conflit d’intérêt, …) mais il faut aussi garantir une totale confidentialité si les faits remontés s’avèrent graves et peuvent nuire à la personne qui effectue le signalement.

Outre la mise en place de l’outil, la direction de GRDF devra faire preuve de beaucoup de pédagogie et de communication vers les agents afin que chacun identifie les différentes situations dans lesquelles des soucis éthiques peuvent survenir.

Comme nous l’avons indiqué à la direction, il ne s’agit là que d’un outil et d’autres manières d’alerter existent. Il faut désormais expliquer et informer les agents de l’existence de ces systèmes afin qu’ils soient connus de toutes et tous et que chacun sache les utiliser face à de telles situations.

Nous ne rentrerons pas dans le détail des éléments du dossier, comme le nombre et le type de signalements, le cahier des charges, la sauvegarde des données, ou encore la confidentialité.

La délégation CGT au CSE-C de GRDF n’a pas émis un avis défavorable sur ce dossier, mais a soulevé des points de vigilance : être transparent sur les dysfonctionnements de l’outil, connaître sa fiabilité et sa fréquence d’utilisation, avoir connaissance des futures évolutions de l’application qui plus est si elles remettent en cause la confidentialité des données contenues dans l’application.

3. Politique Sociale (pour info)

EMPLOI
Nous avons constaté une augmentation des effectifs dans les métiers du développement et de l’ingénierie due à l’essor des gaz verts, et une diminution des effectifs dans les métiers liés à l’intervention et la planification. Ces baisses mises en parallèle avec la forte hausse des effectifs dans le collège cadre nous interrogent sur l’avenir de GRDF et sa réelle volonté de conserver le cœur de métier.
Il en va de même pour les métiers «Qualité, Hygiène, Sécurité, Environnement» où l’on constate une baisse de 24 temps pleins alors que l’entreprise n’a de cesse de mettre en avant que ces domaines sont une priorité.
Nous avons comme l’impression que GRDF achève d’externaliser son savoir-faire gazier.

RÉMUNÉRATION
Depuis 2018, nous constatons une recrudescence de mutations « à plat » et de changements de plage sans modification de GF. Selon la Direction, il s’agirait d’un des impacts du projet « je bouge » qui viserait à favoriser les mobilités et les évolutions dans la même plage.
En résumé, pour évoluer, il faudrait commencer par refuser une évolution salariale !
Contrairement à ce qui nous avait été annoncé l’année dernière, aucun dispositif n’a été mis en place pour limiter l’impact des rémunérations périphériques sur les plus petits GF. Certains agents feraient preuve d’un manque de motivation pour évoluer dans l’entreprise d’après la direction !!!

FORMATION
Sur ce sujet, la Direction a botté en touche, en nous indiquant que cela était hors sujet. Or cet item fait bien partie de la politique sociale de l’entreprise…

SITUATION COMPARÉE
L’égalité femmes/hommes est toujours mise à mal sur le bilan « situation comparée 2020 ». Pour exemple, une seule femme fait partie des 10 plus hautes rémunérations de GRDF.
GRDF n’a de cesse de diminuer les effectifs des fonctions support qui ont pour mission, entre autres, le recrutement. S’agissant des familles métiers où les taux de féminisation sont bas, notamment dans le technique, la Direction compte utiliser la mobilité géographique pour lisser les écarts entre les régions. En revanche, elle ne fait pas de lien avec la baisse des recrutements externes.
Nous avons appris par ailleurs lors de cette séance qu’il y a continuité de la sujétion de service lors du congé paternité.

HANDICAP
Sur ce sujet très important, en 2020, GRDF n’est toujours pas à la hauteur de l’accord. La direction se cache derrière la crise sanitaire, derrière une différence de parcours professionnels des personnes en situation de handicap générant des différences salariales entre les travailleurs handicapés et les autres agents. GRDF ne compte d’ailleurs pas compenser les écarts. Cette attitude reste donc discriminatoire.
La direction invoque un futur accord pour nous faire croire que les choses vont s’améliorer !

LOGEMENT
Le logement des agents devient de plus en plus problématique à GRDF, notamment avec la suppression de l’AIL.
Les référents logement régionaux ne sont pas connus des agents. De plus les dispositifs n’ont visiblement pas été assimilés par les managers puisqu’ils ne sont pas expliqués aux agents. Les directions régionales ont un gros travail à faire sur ce sujet car les agents souffrent de mal logement, notamment dans les grandes métropoles ou les zones frontalières.

1ère Déclaration liminaire CGT

(Téléchargez la déclaration)

 

NOUVELLE HAUSSE DU PRIX DU GAZ

15 % de hausse sur le gaz

Sixième hausse envisagée du prix du GAZ en France depuis cet été !

On espérait que le plus dur serait derrière nous. Malheureusement il n’en sera rien. Une nouvelle hausse des prix du gaz est attendue dès le 1er novembre prochain. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle sera… conséquente : autour de + 15 %, pour le tarif régulé de vente (TRV), fixé par le gouvernement et vendu par l’opérateur historique Engie ! Du jamais-vu.

Quel est réellement l’intérêt d’ENGIE ?

Faire disparaître à tout prix le tarif régulé en faisant désespérer les usagers attachés à l’entreprise historique GDF ? Peut-être qu’attendre le 1 janvier 2023 est top long pour notre maison mère, les actionnaires ont sûrement soif d’encore plus d’« argent ».

Pourtant leur soif est quand même assouvie, il ne faut pas oublier qu’au total, la facture du ménage moyen chauffé au gaz chez Engie, au tarif réglementé, a augmenté de 29% depuis 2019 et de 44% depuis janvier 2020.

Par cette politique capitaliste nous doutons fortement de l’engagement de notre maison mère ENGIE pour un service public de l’énergie au service de la nation. Non, en fait, nous n’en doutons pas, nous en sommes sûrs. Pour nos employeurs les IEG sont devenus « des vaches à lait » et ont totalement oublié pourquoi EDF GDF ont été créées à la sortie de la Seconde Guerre mondiale.

Oublier d’où l’on vient c’est décevant.

 

NÉGOCIATION CLASSIFICATION / RÉMUNÉRATION

À côté de ça le salaire des agents n’augmente pas comme il devrait et c’est de pire en pire.

Les employeurs auraient-ils la volonté de sacrifier les salaires des agents ?

Hier les électriciens et gaziers se sont mobilisés afin de défendre leur système de rémunération de la branche des IEG.

En lien avec la négociation sur un nouveau système de classification et de rémunération de branche, la délégation FNME-CGT quitte la Commission Paritaire Permanente de Négociation et d’Interprétation (Ex-Commission Paritaire de Branche).

Pour rappel, au-delà de la revendication évidente concernant l’augmentation de l’enveloppe consacrée aux mesures salariales (SNB et AIC), la FNME-CGT a présenté il y a plus d’un an un ensemble de propositions pour refondre notre système de classification rémunération. Nos objectifs sont d’une part de revaloriser la grille de rémunération et les repères, en particulier d’embauche, pour compenser la forte dégradation du pouvoir d’achat des salaires depuis de nombreuses années, et d’autre part, de mettre en place un déroulement de carrière dynamique basé sur des critères transparents et qui reconnaissent la progression de la qualification des agents. Depuis cette date, les employeurs ont fait de nouvelles propositions, mais sans réelles avancées. Ils estiment que l’attribution d’une augmentation individuelle doit principalement reposer sur « la reconnaissance de la performance, de l’engagement et de la contribution ». Pour faire simple les employeurs reconnaîtront demain uniquement le résultat et le « savoir être ».

POUR LA FNME-CGT C’EST INACCEPTABLE !

À l’heure où le taux de croissance atteindrait 6% selon l’INSEE, où les marges des entreprises au premier semestre sont autour de 35 ,5%, nos employeurs quant à eux ne veulent pas d’augmentation générale du SNB.

Dans le contexte actuel de reprise de l’augmentation des prix et donc de forte baisse continue du pouvoir d’achat dans les IEG, c’est d’autant plus inacceptable et inéquitable entre entreprises de la Branche.

Nous refusons le projet antisocial de la direction et cette austérité indécente.

La FNME CGT ne laissera pas faire sans mener le combat.

 

AGRESSIONS PHYSIQUES ET VERBALES

Monsieur Le Président, nous vous alertons sur des situations à risques que subissent actuellement les agents de terrain.

En effet nous constatons d’ores et déjà des agressions physiques et verbales liées aux annonces médiatiques sur l’augmentation du prix du gaz en France.

Nous vous demandons d’alerter rapidement les directeurs en région afin qu’ils soient vigilants et attentifs à ces multiples agressions ainsi que de tout mettre en œuvre pour la protection physique et mentale des agents de terrain.

De plus, nous vous demandons de rappeler à vos directeurs régionaux qu’une agression physique à coup de pierres sur un agent n’est pas une incivilité, mais un accident de travail.

À Paris,

Le 20 octobre 2021

2nde Déclaration CGT ATT/Astreinte

(Téléchargez la déclaration)

Monsieur le président,

Depuis quelques mois, les DR et DCT impactées par les réorganisations EOAI et PER 2019 ont ouvert une révision de leurs accords ATT et/ou astreinte en vigueur.

Les représentants du Personnel se souviennent des engagements pris par les directions nationales et régionales. À titre d’exemple lors du passage pour avis de la généralisation d’EOAI au CCE du 17 mai 2017, Monsieur LAHET estimait qu’une question va se poser autour des aménagements du temps de travail et des accords astreinte qui devront conduire à des avenants à négocier. Bien sûr, sur les accords « Astreinte » qui, eux, ne sont pas chamboulés, il y aura sans doute des noms à faire changer : ARG en AI ou du toilettage de ce type-là. ». Les accords « Astreinte » se devaient de rester à l’identique, puisque tous signés sur le modèle national rédigé par la DRHT.

Lors du passage pour avis de la réorganisation PER 20219, le dossier indiquait pour le devenir des accords ATT et ASTREINTE que « des négociations interviendront au niveau des quatre nouvelles régions afin de conclure des accords en cohérence avec les nouveaux périmètre et effectifs couverts suite aux transferts ».

Les accords de méthodes et les projets d’accords ATT DR/DCT, rédigé par la DRHT, indiquent tous dans leurs préambules l’objet de la négociation:  « la Direction de GRDF et les partenaires sociaux ont convenu qu’une révision des accords en vigueur interviendrait pour formaliser des accords locaux conformes aux nouveaux périmètres des Régions. » En complément, les réorganisations opérées sur chaque DR (créations des APPI, ACEP, projet MSG 2020, cellule BIOMÉTHANE, expérimentations horaires sur certains BEX,  etc.) amèneront à une négociation de leurs ATT par avenant aux accords en cours.

Dans les faits, la réalité de terrain va bien au-delà de l’harmonisation des cycles d’ATT des différents services des nouvelles régions PER2019. Pire, le constat est flagrant ! Les directions en région envisagent d’abolir le cycle A3 et ses 39 jours de RTT, de revisiter  les temps de pause méridienne et par-ci, par-là voilà qu’on modifie les horaires de début et de fin de journée.

Cette pensée unique n’a qu’une seule vocation : « gratter des heures de travail à tout va » qui additionnées les unes aux autres permettent virtuellement de trouver de nouveaux ETP !

À l’heure même où certains pays européens plébiscitent les 32h, revendication que la CGT porte depuis plusieurs années, GRDF dans son idée du « travailler autrement » devrait intégrer cette évolution sociétale et admettre que le chômage ne baissera que si on partage le travail !

 

À Paris,

Le 20 octobre 2021

3e Déclaration CGT Soutien Gardanne

(Téléchargez la déclaration)

Depuis le 18 août dernier GazelEnergie, avec la complicité de l’Etat, a mis en œuvre un plan de licenciement massif, dans les IEG, à la Centrale de Gardanne.

La désorganisation de l’entreprise qui en résulte ne permet pas à la Tranche 4 Biomasse de   fonctionner, d’assurer la sécurité des personnes et des biens sur l’ensemble du site ainsi que celle des riverains.

Afin de préserver l’outil  industriel,  notamment  pour  des  raisons  de  sécurité,  les  travailleurs de la Centrale de Gardanne, avec leur  syndicat  CGT,  l’UD  CGT  13  et  la  FNME CGT ont décidé de mettre le site sous leur  protection.

L’Etat et GazelEnergie doivent prendre leurs responsabilités et créer les conditions pour que des solutions soient  trouvées permettant d’assurer  l’avenir  industriel  du  site,  développer   l’emploi, répondre aux besoins en énergie pour tous. Cela passe par la réalisation d’un projet industriel pour conforter l’avenir du site et répondre ainsi aux besoins énergétiques des populations, du tissu économique et du territoire. La suppression massive d’emplois conduit à affaiblir le site, notamment en empêchant la Tranche 4 Biomasse de fonctionner et d’assurer la sécurité des personnes et des biens.

Quand la Direction et l’Etat cherchent à casser l’outil pour justifier leurs choix, les travailleurs préservent leur avenir et travaillent à préparer la réalisation d’un projet industriel.

L’heure n’est pas aux coups tordus contre l’emploi. Face aux défis climatiques et sociaux, intimement liés, elle est au contraire au déploiement de projets industriels ambitieux, s’appuyant sur la création d’emplois, la valorisation des savoir-faire et des compétences humaines, la formation des salariés et sur la satisfaction des besoins en énergie des populations et des territoires. Cette situation illustre une nouvelle fois le besoin d’un service public de l’énergie sous maîtrise des salariés et des citoyens, qui se donne pour objectif la réponse aux besoins sociaux et au défi climatique.

Les élus CGT au CSE-C de GRDF apportent tout leur soutien aux travailleurs de la  Centrale  de Gardanne et leur syndicat CGT dans la lutte qu’ils mènent pour défendre leur  outil  de travail et faire aboutir un projet industriel permettant de préserver l’emploi,  de  répondre aux besoins en énergie pour tous et ce en toute sécurité.  

 

À Paris,

Le 20 octobre 2021

Point 1 : Déclaration CGT "COVID-19"

(Téléchargez la déclaration)

Depuis mars 2020, GRDF s’est contentée d’appliquer la loi et rien de plus. L’ensemble des agents n’ont pu observer à aucun moment que notre entreprise a été force de proposition. Pire, GRDF préférant même  discréditer les représentants syndicaux dans les différents CSSCT et CSE.

Les gaziers qu’ils soient issus de la DCT ou de la DR auraient eu droit soient disant à quelques largesses telles que la mise à disposition, la garde d’enfant sans diminution de salaire, etc. Alors qu’en réalité, l’entreprise n’a suivi en fait que les directives gouvernementales. Alors même que l’argent continuait à couler à flots pour les plus riches ;

Et dès que le gouvernement l’a permis. GRDF en bon soldat a rapidement remis ses troupes au travail. En faisant comprendre aux  agents qu’il était grand temps d’y retourner car les profits n’attendent pas.

Aidé par le comportement de certains managers zélés faisant culpabiliser les agents sur le fait qu’ils ont été rémunérés tout en restant chez eux.

Cette  bienveillance au début de cette pandémie s’est transformée en mendicité et dualité pour ceux qui voulaient juste travailler correctement et protéger leur famille dans ce contexte anxiogène, ceux qui ne pouvaient pas venir au travail à cause de la garde de leurs enfants ou encore pour les personnes vulnérables qui se sont vues pointées du doigt alors qu’ils  auraient dû être couverts par le secret médical.

La Covid-19 a bon dos sous prétexte de retard vous faites aujourd’hui recourt à l’intérim, et aux externalisations. Les heures supplémentaires sont payées ou l’amplitude horaire élargie alors même que des embauches statutaires dans la période devraient être généralisées.

Les éléments présentés ne sont qu’un échantillon. En effet, vous comprendrez aisément que nous pourrions épiloguer longtemps.

La délégation CGT vous interpelle Monsieur Le Président et vous demande à ce que GRDF assume pleinement son rôle d’employeur et respecte la réglementation en vigueur. Notamment, que le respect du secret médical soit préservé en toutes circonstances et pour tous les salariés.

 

À Paris,

Le 20 octobre 2021